“COTTON CLUB PARADE” (april 1932)

  Revue du Cotton Club de Harlem. * Paroles de Ted Koehler * Musiques d’Harold Arlen * Mise en scène de Dan Healy * Vedette : Cab Calloway Chansons publiées : * In The Silence of the Night * Minnie The Moocher’s Wedding Day* * You Gave Me Everything But Love Read the full story →

“RHYTH-MANIA” at the Cotton Club (December 1931)

  Deuxième contribution d’Harold Arlen et Ted Koelhler aux revues du Cotton Club, Rhythm-Mania contient quelques succès parmi lesquels Between The Devil and The Deep Blue Sea, la marche I Love a Parade et naturellement Kickin’ The Gong Around. Devant le succès de la chanson I Love a Parade, les revues suivantes furent toutes appelées «Cotton Club Parade». Read the full story →

“COTTON CLUB PARADE” (october 1932)

Revue du Cotton Club de Harlem : * Paroles de Ted Koehler * Musiques d’Harold Arlen * Mise en scène de Dan Healy * Vedettes : Aida Ward, Cab Calloway Chansons publiées : * Harlem Holiday * I’ve Got a World On A String* * That’s What I Hate About Love* * The Wail of The Reefer Man* Read the full story →

Chap. 5: “New York and the Cotton Club”

    Plus long chapitre de son autobiographie, « New York and The Cotton Club » présente les débuts de Cab et sa réussite fulgurante qui fit de lui un des jazzmen les plus écoutés du moment. En toute modestie – une fois de plus – Cab explique que les Alabamians avaient la chance avec eux, tout d’abord parce qu’ils étaient un bon orchestre, mais surtout parce que lui était à sa tête, lui donnant une présence particulière grâce à la manière dont il le conduisait sur scène. Rien que ça ! Pour autant, les Alabamians ressemblaient peu ou prou aux orchestres blancs de Chicago, ceux de Benny Meroff ou de Paul Ash... Read the full story →

Avis ANDREWS: The Sepia Prima Donna

Billed alternately in the ads as “Sepia Prima Donna”, “The Sepian Nightingale”, “Siren of Songs”, “Songbird of the South”, “Bundle of Blues”, “Popular and petite songbird”, “The aristocrat of song”, “The Broadway Favorite and Singing Sensation”, “Second to Marian Anderson” or “Greatest colored soprano” (sic). Still: if we had to rely on Cab Calloway’s autobiography to find out a little more about this singer who was the canary for the orchestra for more than 7 years, we wouldn’t get very far! The Hi De Ho Blog invistigated and tells you almost everything about a great singer (cousin of the singer and TV star Leslie Uggams) admired then and forgotten today. Read the full story →

“Stormy Weather”, the song (1933)

  Voici un des grands standards du jazz co-écrit en 1933 par Ted Koehler (paroles) et Harold Arlen (musique) et qui donna 10 ans plus tard son titre au film éponyme d’Andrew L. Stone. La petite histoire veut qu'Arlen et Joehler pensaient destiner cette chanson à Cab, comptant sur ses ressorts dramatiques pour faire résonner les fameuses premières paroles : "Don’t know why…" Le sort - plus exactement le management du Cotton Club - en décida autrement. Read the full story →

How Cab Calloway left his agent Moe Gale for Irving Mills

  Moe GALE (né Moses Galewski, 1899-1964) fut le premier agent qu'eut Cab Calloway. Il signa avec lui un contrat qui faisait de lui un artiste pieds et poings liés pour 10 ans, avec un salaire fixe de 100 $ par semaine. Si cela semblait une fortune pour Cab au moment d'arriver à New York, cela relevait de l'escroquerie pure et simple : en quelques semaines, Cab allait « valoir » plus de 500 $ par semaine. Mais ça n'est pas tout…     Read the full story →

The Lady With The Fan (1933)

  Cab a écrit et co-écrit une petite centaine de chansons au cours de sa carrière. Une de ses premières créations fut « Lady With The Fan ». Dans son autobiographie, Cab nous raconte qu'il avait en tête une des chorus girls du Cotton Club : Amy Spencer. Elle dansait en cachant ses formes derrière un large éventail à vous d"imaginer pourquoi Cab écrivit cette chanson (surtout de là où il était placé pour l’écrire…). Read the full story →

William Thornton BLUE: the creative but forgotten clarinettist

Listen to Cab Calloway’s recordings from the early 1930s ... If your ear is dominated by a hopping, acrobatic and remarkably creative clarinet sound, you are enjoying one of the great forgotten musicians in the History of Jazz who spent more than 30 years in an asylum: William Thornton BLUE. It is my good friend the late Christian Bonnet (1945-2017) — whose ear was particularly demanding - that made me discover the talent of this clarinetist and alto saxophonist whose solos give a unique sound to the first Calloway shellacs... The Hi De Ho Blog will tell you the almost unknown story of the man who nicknamed himself “The reputed Blue”. Read the full story →

“Minnie The Moocher”: the forgotten lyrics

  Tout le monde a déjà entendu quelques milliers de fois la chanson Minnie The Moocher, qui fut le thème de Cab de 1931 à 1994. Tout le monde sait que son succès vint d'une improvisation de Cab à cause d'un oubli des paroles de la chanson. Et c'est bien normal puisqu'elle compte pas moins de 7 couplets. Habituellement, seuls les 4 premiers sont chantés. Possesseur d'une partition d'époque, je suis heureux de vous proposer de découvrir l'intégralité des lyrics de cette chanson maintes fois reprise. Read the full story →

BENNY PAYNE: the friendly pianist (part 1)

  Même si beaucoup de musiciens ont glosé sur la routine de jouer avec Cab et son incapacité à laisser ses solistes suffisamment s’exprimer, on doit tout de même reconnaître que de nombreux pupitres sont restés occupés par les mêmes personnes de nombreuses années. Et en tout premier lieu par Benny PAYNE, le pianiste de Cab de juillet 1931 (première date d’enregistrement) à fin 1943 (son départ à l’armée). Dans cette première partie, nous allons voir la carrière de Benny Payne avant et pendant Cab. Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (2/2)

  Deuxième partie du portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Après une enfance heureuse dans l'Oklahoma, Thomas est vite parti sur les bateaux du Missouri et joué en compagnie d'Ed Allen, Fate Marable, Ferdinand Jelly Roll Morton. C'est à New York qu'il veut réussir et l'orchestre du Cotton Club d'Andy Preer lui ouvre les bras. Vient ensuite un engagement avec les Missourians rapidement dominés par le petit nouveau : Cab Calloway. Avec lui, Walter Thomas va rester au même pupitre durant 13 ans, accumulant les fonctions de chef de la section des saxophones, arrangeur, directeur musical et chef d'orchestre par intérim lorsque le Cab en chef n'est pas sur scène. Tout cela sans jamais passer de l'ombre à la lumière. A partir de 1943, il voudra voler de ses propres ailes, mais sera lui aussi confronté à la dureté de l'époque. N'empêche, les quelques pistes gravées en 1944-45 comme les moments qu'il passera encore avec quelques-uns des plus grands donnent à la deuxième partie de son existence un goût fantastique. The Hi de Ho Blog vous la raconte... Read the full story →

Count BASIE in Cab Calloway’s orchestra?

  That's right! For an announcement effect, admit that it is powerful.  The Count at the Cab.  That was almost done. And from 1929!  Count Basie and Cab met at the time when young Calloway was the leader of the Alabamians. A great friendship was born between the two men...  The Hi de Ho Blog reveals a little more...   Read the full story →

Morris ‘Fruit’ WHITE: from the Missourians’ banjo to Calloway’s guitar

Very little is known about Morris WHITE, Cab Calloway’s first rhythm guitarist and banjo player.  While French critics seem to have appreciated his musicianship during the 1934 European tour, he attained little or no place in jazz literature.  In the history of Cab’s orchestra, it’s Danny BARKER who is recognized as the star of the guitar in the rhythm section. The musicologist Gunther SCHULLER, however, awarded White many compliments throughout his study of the music of the Cab Calloway orchestra.  The Hi De Ho Blog is excited to tell you everything we know about Morris ‘Fruit’ White.  And as a bonus, thanks to Nick ROSSI, guitarist, writer and jazz historian, we are able to offer you an extra deep dive into analyzing Morris' technique and instruments.   Read the full story →

Bill Bojangles ROBINSON: Cab Calloway’s less friendly partner

  Loin de moi l'idée de faire une énième biographie de Bill Bojangles ROBINSON (1878-1949), danseur de claquettes hors pair : d'autres l'ont fait avant moi ou le feraient mieux que moi. The Hi de Ho Blog va se contenter de retracer les différents moments où lui et Cab se sont croisés entre 1931 et 1949. Même s'ils ont été très souvent ensemble sur la scène du Cotton Club ou s'ils ont partagé l'affiche de Stormy Weather, ces deux compères-là avaient une relation étonnante : Cab était le jeune chef aux dents longues, et Bill le vieux briscard impitoyable. Read the full story →

Discoveries of Cab Calloway broadcasts in the Savory Collection

"Every collector's wet dream", c'est ainsi que Loren Schoenberg qualifie ce qui est l'événement de l'année 2010 - peut-être des années à venir - dans le monde du jazz. Au printemps dernier, Loren Schoenberg, directeur du futur Musée du Jazz à Harlem, a fait l'acquisition d'une incroyable collection de disques de transcriptions radiophoniques des années 30. Ces quelque 975 acétates appartenaient à William SAVORY qui avait été ingénieur du son (il était dans l'équipe qui avait mis au point les 33 tours, rien que ça) et dont le métier était d'enregistrer pour de riches clients les concerts de musique classique et d'opéra qui passaient à la radio. Mais lui, ce qui lui plaisait, c'était le jazz... Read the full story →

The King of Hi de Ho and the Presidents

  Many jazz fans will be delighted by this story told by Cab Calloway in his autobiography, Of Minnie the Moocher and Me: at an evening reception in honor of Duke Ellington, Richard Nixon approach Cab Calloway and told him "My wife and I really like what you're doing, Mr. Ellington" True or not, it indicates the presence of Cab at the White House and his relationship with the U.S. leader. The Hi de Ho Blog will tell you a little more... Read the full story →

Zanzibar Cafe, New York: home of Cab Calloway

  Cab Calloway spent some quality time at Zanzibar... entire months! Café Zanzibar, "Home of the Stars", was a Broadway theater that opened in 1943 with the aim of succeeding the prestigious Cotton Club which had recently closed.  But Zanzibar brought one notable difference: the black audience was accepted there. This policy greatly contributed to its success both with orchestras and the public. The Hi De Ho Blog tells you everything he knows about the Café Zanzibar. Read the full story →